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L’exportation des festivals français

Depuis quelques temps déjà, les français exportent leurs festivals, qui sont en fait des concepts purement occidentaux. On en voit un peu partout dans le monde et même en Afrique. Siestes économiques ou nuits sonores, ils sont nombreux à se frotter à d’autre spays culturellement différents. C’est donc là un défi très sérieux qu’ils relèvent, car chacun d’eux doit s’adapter aux différents terroirs d’accueil.

festival

Quelques enjeux culturels importants

La France se lance dans l’exportation de ce type d’évènements pour des raisons particulières. Ils doivent donc repenser le marché, car il est plus que saturé. Auparavant, ils s’attelaient à réaliser plusieurs éditions de leurs évènements sous d’autres cieux, mais uniquement dans les pays occidentaux au même niveau économique et parlant la même langue. Les pays en voie de developpement étaient donc mis à l’écart. Et pourtant, c’est une belle occasion de créer de nouvelles déclinaisons de ces évènements pour les rendre encore plus intéressants et plus accessibles.
Cette cission qui existe en pays occidentaux et pays non occidentaux est bien loin de cadrer avec la diversité culturelle, la mondialisation, et la culture mondiale tant pronée aujourd’hui. En s’ouvrant à d’autres horizons, il y a tout à gagner. C’était donc le cas pour les nuits sonores en Chine, au japon et en 2013 à Tanger. Quand aux Francofolies, elles sont en prévision pour se dérouler au Congo, précisement à Kinshasa.

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